dimanche 23 août 2009

Le Domaine de Saint Christophe 02 – Yves

Le lendemain matin, Yves qui avait passé la nuit dans mon lit, se leva silencieusement, pour aller chercher mon petit déjeuner aux cuisines. Je le retins par un bras, et lui dit :

- Ne te sauve pas comme un voleur mon petit Yves ! Et lui montrant la bosse sous le drap au niveau de mon bas ventre :

- Au travail !

Il me regarda avec un grand sourire, et plongea la tête vers mon sexe tendu. Sa bouche engloutit ma tige, sa langue caressa mon gland, il me suça avec tout son savoir, il était nu courbé sur moi, je pouvais caresser ses fesses, douces et fermes, il se mit à bander, je commençai à le branler doucement, son sexe se tendit, j’insistai les caresses en commençant aussi à lui doigter le cul…

Pendant ce temps sa langue et sa bouche s’activèrent, je sentis une tension en moi, le désir monta doucement, et éclata, j’éjaculai dans sa bouche avec un plaisir très fort. Sous mes caresses je vis son corps se tendre et il éjacula en partie sur mon ventre et en partie dans le lit. Il se redressa gêné d’avoir éjaculé sur moi.

- Pardon Maître…

Je le regardai avec un air de reproche, en effet il devait tout faire pour éviter d’éjaculer sur son Maître, en particulier ici il avait les mains libres pour faire écran. Je lui ordonnai de lécher son sperme sur mon corps, il le fit rapidement et se redressa, à genoux sur le lit tête baissée attendant les ordres, il savait qu’il allait être puni, sans doute sévèrement au martinet ou à la strap.

Je le pris par les épaules et l’approchai de moi.

- Tu aurais pu faire un peu plus attention ! Je le serrai dans mes bras en l’embrassant dans le cou, je lui dis à l’oreille

- Pour cette fois-ci tu es à moitié pardonné, tu recevras une fessée, à la main cul nul tout à l’heure !

Je le sentis alors se détendre un peu, il savait que c’était le minimum de punition qu’il pouvait espérer, et que même s’il s’attendait à une vigoureuse fessée, c’était mieux qu’être fouetté !

- Merci Maître. Dit-il avec reconnaissance.

- Yves debout maintenant ! Tu me serviras mon petit déjeuner à table au salon, j’ai du boulot aujourd’hui ! Dis-je en me levant rapidement, il fut très vite debout aussi.

- A vos ordres Maître ! Et il partit chercher le repas aux cuisines, après avoir enfilé un short.

Je mis un caleçon et une chemise que Yves avait préparés la veille, j’étais un peu embêté de devoir le fesser mais je savais aussi qu’il fallait toujours être ferme et faire respecter les interdits. D’un autre coté je n’étais pas trop mécontent de m’occuper des fesses de mon Yves, rien qu’a y penser mon sexe se durcit…

Je m’assis à table, attendis un peu, mais rapidement Yves entra accompagné d’un jeune des cuisines, apportant deux plateaux de victuailles, pâtisseries et pain préparés le matin même aux cuisines, fruits, et un bon café fumant. Yves me servit le café, je jetai un coup d’œil au jeune garçon, de 13-14 ans, il se tenait tête baissée, il portait un maillot et un short court, on pouvait voir quelques zébrures rouges sur l’arrière de ses cuisses, je lui demandai d’approcher et lui dis :

- Baisse ton short !

Il parut surpris mais s’exécuta rapidement, ne disant pas un mot.

- Tourne-toi et montre-moi tes fesses ! Je découvris alors de nombreuses traces récentes profondes, à peine cicatrisées, je reconnu des coups de cravache au moins une vingtaine qui avaient été appliqués avec force.

- Eh bien mon garçon, pourquoi as-tu été fouetté comme ça ?

Le garçon tétanisé d’être nu devant son Maître essaya de répondre mais aucun son ne sortit de sa bouche !

Yves vint à son secours :

- Réponds Loïc, n’aie pas peur… Loïc dit alors d’une voix tremblante :

- J’ai cassé une assiette Maître !

- Et comment ça s’est passé, Loïc ? Dis-je interloqué par la rudesse du châtiment pour une faute habituelle en cuisine.

- Quand j’ai cassé l’assiette, le chef m’a fait venir tout de suite, il m’a dit de me déculotter, il a décroché la cravache, et il m’a donné 20 coups, c’est l’habitude en cuisine Maître, chaque faute est punie immédiatement devant tout le monde au milieu des cuisines…

- Loïc, remets ton short et retourne à ton travail, tu es courageux mon garçon… J’accompagnai mes paroles d’une caresse sur ses fesses, et d’une légère petite claque sur le bord d’une cuisse, là où il n’avait pas de traces. Il remit son short délicatement sans trop frotter ses fesses, se retourna et me fit un profond salut comme le fait généralement tout esclave quittant son Maître.

Je regardai Yves qui avait l’air choqué par les déclarations du garçon et je dis :

- Je n’aime pas ça du tout, vas me chercher le chef cuisinier tout de suite !

Yves partit immédiatement et revint vite avec le chef des cuisines, un homme de 40 ans, nommé Jacques, que je connaissais assez bien. Il me salua et resta debout presque au garde-à-vous.

- Jacques, je suis très mécontent, je viens de voir Loïc et les traces de sa correction, c’est inadmissible, je n’ai pas le temps de m’occuper du problème aujourd’hui, mais je t’ordonne de stopper toute correction, dès maintenant sauf autorisation de ma part ! Dis-je sur un ton très dur qui n’admettait pas de réplique.

- Mais Maître…

- Silence, retourne à ton travail, obéis, et ne t’avise pas de te venger sur Loïc, je le prends sous ma protection !

Quand un esclave était sous la protection du Maître, seul le Maître pouvait décider de le punir.

Le chef cuisinier, répondit :

- Oui Maître.Il salua et partit.

J’échangeai un regard avec Yves, visiblement il approuvait ma réaction, j’avais vu sa consternation en voyant les fesses du garçon, il devait penser que lui à 23 ans n’avait jamais été corrigé aussi durement, et que même si j’étais sévère, avec lui, je n’étais pas cruel.

- Tu vois Yves il y a du travail dans le Domaine…

- Oui Maître, merci pour Loïc. Dit-il avec reconnaissance.

Je finis mon déjeuner, Yves restait debout à mon coté, me servant avec diligence, dès que j’avais besoin de quelque chose. Quand j’ai eu fini, Yves resta debout attendant un ordre, il savait qu’il devait être fessé, la punition pouvait venir maintenant ou plus tard. Je pris mon temps en le regardant attendre, un peu tendu, sa tête se baissant peu à peu.

- Bon Yves, on a un compte à régler…

- Oui Maître, à vos ordres ! Il prit alors la position règlementaire, les jambes écartées, et les mains sur la tête, celle-ci baissée.

Je me levai et tournant autour de lui :

- Et si j’agissais comme le chef cuisinier ? C’est à la cravache que je devrais te punir, qu’en dis-tu ?

- Vous pourriez Maître, ma faute est réelle Maître.

- Rassure-toi, je t’ai promis une fessée, tu vas donc être fessé !

- Maître, est-ce que je peux vous dire quelque chose ? Demanda-il d’un ton un peu craintif, en effet un esclave ne doit pas poser de questions directement sans autorisation du Maître, il doit répondre aux questions, ou ne parler que pour nécessité de son travail.

- Oui vas-y Yves, dis ce que tu veux !

Toujours dans sa position de puni, Yves dit alors :

- Maître, je voudrais vous remercier de votre clémence à mon égard ce matin et depuis que nous sommes revenus ici je me rends compte combien vous avez été bon avec moi pendant toutes ces années, vous m’avez puni toujours justement, et jamais aussi durement que le jeune Loïc, alors que j’ai fait des bêtises plus graves que lui. Je voulais vous dire aussi que le cas de Loïc est loin d’être rare au Château et au Domaine. Merci de m’avoir écouté Maître…

- Oui mon Yves, il y a beaucoup à faire ici…Mais quant à ma clémence attends la fessée avant de juger… Dis-je d’un ton assez sévère.

- Retire ton short Yves !

Yves se déculotta, il était maintenant nu debout devant moi, je reculai ma chaise et lui fis signe de se coucher sur mes genoux. Yves connaissait bien cette position il se plaça parfaitement, un peu cambré, ses fesses bien présentées, les jambes légèrement écartées. La vision qu’il m’offrait était parfaite, ses cheveux courts et bruns, son cou, son dos musclé, ses fesses bien rondes et bien mises en valeur, sa raie ouverte sa rondelle bien dégagée, toujours bien rasée, ses bourses gonflées en dessous, et ses jambes fines, musclées et un peu poilues.

Je posai ma main droite sur le milieu de ses fesses, en le massant doucement, la peau de ses fesses était très douce, je le sens tendu, mais son attitude générale, l’abandon de son corps offert à la punition montrait la confiance qu’il avait en moi, de plus avec ce qu’il venait de me dire j’étais touché par mon Yves. Mais je balayai ces pensées, mon cher Yves devait être puni, et donc j’allais le punir sévèrement.

Je levai ma main et claqua assez durement le milieu des fesses de Yves, il sursauta, mais il me connaissait bien il savait que la fessée ne serait pas des caresses, un série de claques s’abattit de plus en plus durement, Yves gémit un peu, ses fesses rougirent rapidement.

Je continuai la punition en claquant très durement le haut et le bas des fesses, en alternant sur chaque fesse, de façon à rougir parfaitement toute la surface offerte. Le rythme de la fessée s’accéléra ainsi que la force des coups.

Yves gémissait maintenant de façon presque continue, se tortillant légèrement mais sans jamais faire un geste pour échapper à cette correction qu’il avait du mal à endurer, mais courageusement il savait qu’il l’avait méritée, il s’abandonnait donc à son Maître, ce Maître qu’il aimait, qu’il révérait… Mais chaque coup résonnait dans tout son corps, la douleur irradiait ses fesses, c’était dur à supporter, il se mit à crier, il sentit les larmes lui monter aux yeux, il résista un peu, mais après une série de coups appliqués particulièrement durement à la bases des fesses, les larmes sortirent, il les sentit couler, il s’écria avec une voix pleine de larmes :

- Aaaah, Maître….

J’entendis son râle et devinai qu’il pleurait Je sentais que Yves s’abandonnait à mon pouvoir, son corps s’était légèrement affaissé, je claquais toujours sévèrement, durement avec toutes mes forces ses fesses, en gardant une cadence très rapide, je commençais à avoir mal à la main, mais je continuais quand même toujours aussi fort. Tout d’un coup je stoppai, Yves ne bougea pas, il attendait toujours les ordres avant de bouger. Je le regardai de coté je vis une de ses joues trempée, la dérouillée avait été forte et mon Yves n’avait pas pu retenir ses larmes.

Je posai ma main sur ses fesses, et dit :

- Yves les dix derniers coups seront forts, tu dois les compter, cambre-toi bien !

Yves réajusta sa position, et dit d’une voix qu’il essaya de rendre claire :

_ Oui Maître, à vos ordres Maître…

Je soulevai ma main et tapai de toutes mes forces sur la fesse droite.

- Aaah ! Un Maître, merci Maître ! Yves avait presque crié pour compter le coup.

Idem sur la fesse gauche.

- Aaaaaaah ! Deux Maître, merci Maître !

Les sept coups suivants furent du même genre, Yves encaissait chaque coup, en criant de plus en plus fort :

- Rhaaaaaaaaa ! Neuf Maître, merci Maître !

Je m’arrêtai ma main suspendue au dessus des fesses d’un rouge violent de Yves, je soulevai ma main très haut, et l’abattit au maximum de ma force à la base des fesses, au milieu juste au dessus de la rondelle de Yves, il sursauta brusquement en écartant les jambes comme pour évacuer le mal, en même temps il hurla lançant un cri rauque en annonçant le compte d’une voix quasi atone :

- Dix Maître… Merci Maître…

J’arrêtai les coups, Yves était maintenant comme effondré sur mes genoux, il ne bougeait plus, il haletait et pleurait doucement.

Pour Yves la douleur des derniers coups avait été très forte, ses fesses étaient en feu, il aurait voulu calmer la douleur en les massant, mais il savait que c’était formellement interdit, il restait donc immobile, la punition était terminée, il connaissait bien son Maître, il savait que c’étaient les derniers coups comme annoncé. Il avait aussi reconnu la sévérité de son Maître, il savait bien qu’une fessée, ce n’était pas anodin, mais il savait aussi que le martinet ou la strap, auraient été pires.

Je me mis à caresser le dos de Yves, son cou, ses cheveux, il releva la tête, je passais ma main sous son coup vers son menton, je sentis l’humidité de ses larmes. Je posai alors ma main droite sur ses fesses et je commençai à les masser doucement, j’entendis alors d’une voix cassée :

- Merci Maître…

- Debout Yves !

- Oui Maître ! Et Yves se releva en titubant, il se mit aussitôt à genoux devant moi, prit ma main droite, et l’embrassa, en disant :

- Merci Maître de m’avoir corrigé, je vous aime Maître même si je suis indigne de vous aimer… Il me regarda les yeux plein de larmes, c’était la première fois que Yves me disait ça, je fus très touché, comme j’étais assis je l’ai tiré vers moi, il mit sa tête entre mes cuisses et je sentis ses larmes couler pendant que je caressais ses cheveux.

- Du calme mon petit Yves, ne pleure pas, tu n’es pas indigne de m’aimer, tu es un esclave à part, tu as une place dans mon cœur et je te protègerai toujours, mais n’espère pas un amour exclusif, tu sais que j’aime beaucoup les hommes et pas un seul…Cette correction que tu as reçue était méritée même si je regrette un peu de t’avoir puni à cause d’un débordement pendant l’amour…

Pour confirmer mes dires je pris la tête de Yves, et je l’embrassai sur la bouche et notre baiser se transforma en vrai baiser d’amoureux.

- Maître merci d’accepter mon amour, je vous jure de vous aimer et de vous servir au mieux sans arrière pensée, je vous aimerai toujours, même si j’étais fouetté tous les jours ! Dit-il en me regardant avec un regard franc.

- Yves, je ne vois pas de raison de te fouetter tous les jours, tu es un bon garçon, j’ai d’ailleurs pensé à toi pour d’autres choses, mais avant d’en parler aller nous laver !

- Oui maître, je vous suis.

Je me rendis dans la salle de douche, je me mis nu en entrai sous la douche, Yves nu aussi pris le savon en entreprit de me laver soigneusement. Une fois sa tâche finie, Yves se retirait d’habitude pour aller se laver dans les douches communes aux esclaves. Ce jour là je le retins, il fut surpris, je lui donnai un baiser, et je lui dis :

- Aujourd’hui je vais te laver ! Je pris le savon et je frottai ses fesses encore très rouges, il gémit doucement, plus de plaisir que de douleur, j’entrepris de lui savonner le dos, il prit le savon de mes mains avec un sourire :

- Non Maître, ce n’est pas à vous de faire ça, même si je dois être encore puni ! Je lui laissai le savon et lui glissai à l’oreille :

- Tu as été assez puni aujourd’hui, je te laisse, je te donne rendez vous dans une demi heure au bureau. Il m’embrassa sur la joue, je lui rendis son baiser sur la bouche et sortis de la douche.


Après m’être habillé, j’allai au bureau et m’installai dans le fauteuil, repensant aux réformes qu’il me fallait rapidement mettre en place dans le Domaine, mais la tâche me paraissait ardue, j’allais devoir être très ferme dans ma démarche, mais je devais avoir une bonne vision de l’état du Domaine avant. J’étais plongé dans mes pensée quand Yves entra, après avoir frappé :

- Je peux Maître ?

- Oui entre Yves ! Dis-je avec un sourire.

Yves entra il était habillé en blanc, sa tenue normale, un short et un maillot, il était tout mignon comme ça. Il se plaça debout à quelques pas du bureau, le bras le long du corps dans une sorte de garde-à-vous règlementaire de l’esclave en attente d’ordres.

- Yves assieds toi ! Dis-je en montrant la chaise en face de moi, il parut surpris, un esclave ne s’assoit jamais en présence de son Maître, mais il obéit, et s’assit mais il ne put réprimer une grimace lorsque ses fesses touchèrent la chaise.

- Ah, j’oubliais… Je pris le coussin que j’avais sur mon fauteuil, et lui lançai :

- Mets ça sous tes fesses !

- Merci Maître ! Me dit-il reconnaissant.

- Yves, il me faut complètement réformer le domaine, je ne veux pas continuer sur les mêmes bases que mon père, mais je ne peux pas faire tout seul. Tu es actuellement mon serviteur personnel et tu le fait bien, mais j’ai pensé à toi pour d’autres tâches. Tu sais lire, écrire et compter puisque je t’ai appris tout ça ces cinq dernières années, tu deviendras donc mon secrétaire particulier et tu m’assisteras pour gérer le Domaine et faire les comptes, je veux que tu m’aides à réaliser une étude complète du Domaine, de ses comptes, de l’état des esclaves, et de réformes à apporter… Dis-je en le regardant dans les yeux.

Yves regardait son Maître avec amour, il était prêt à le suivre partout, en plus réformer le Domaine, après qu’il ait vu tant de traces de fouet sur les fesses et les dos des esclaves du Château, il était prêt à suivre son Maître. Oui il savait lire, écrire et compter, plutôt bien d’ailleurs, il avait appris au cours des cinq années où il était seul avec son Maître, l’apprentissage avait été dur, il avait subi de nombreuses corrections cul nu pour tout assimiler, et il en était très reconnaissant envers son Maître d’avoir su lui apprendre tout ça en le châtiant autant que nécessaire. Il dit en baissant la tête:

- Maître, je ne sais pas si je suis digne d’un tel honneur, mais guidé par vous je vous suivrai partout pour vous servir et pour le Domaine, disposez de moi, vous avez eu la bonté de m’éduquer, je vous aiderai avec toute mon âme et tout mon amour, travailler pour vous est mon seul but Maître… Il devint tout rouge en prononçant ces derniers mots…

Je me levai de mon bureau, le contournai et pris Yves par les épaules, le maintenant assis, après un baiser dans le cou, je dis :

- Monsieur mon secrétaire, tu te feras installer un bureau dans la pièce voisine pour que l’on puisse travailler ensemble, mais avant tout il me faut un nouveau serviteur personnel, pour te remplacer, aussi tu convoqueras tous les garçons du Château de 17 à 25 ans, à 14 heures ici et c’est toi qui formeras ce nouveau serviteur !

- Merci Maître pour tout… Je ne sais plus quoi dire, pardon pour ces mots… Et Yves s’effondra en larmes…

Je l’embrassai sur la bouche et lui dis :

- Yves, viens dans ma chambre on va fêter ça ! Je le pris par le bras et nous filâmes dans mon lit où nous nous éclatâmes dans une fête du sexe, les fesses encore bien rouges de Yves le rendaient tellement sexy…

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